... Dans les sondages des sympathisants UMPistes. Pas de panique donc ; le perdant de toutes les élections - sauf une - depuis 2007 ne va pas nous re-débouler de sitôt.

Mais, aux vues sans doute des pathétiques combats de pseudo-chefs dans les rangs UMPistes, les sympathisants de cette droite qui se cherche n’ont qu’une alternative pour essayer de sortir la tête du sable ; le retour de Sarkozy. Du moins, dans les sondages...

Peu de nouvelles ; bonnes nouvelles

Non content de n’avoir réalisé que 40 % de ses promesses de campagne en un quinquennat, non content d’avoir mis en place le fameux bouclier fiscal qui nous a coûté nos chemises, non content d’avoir divisé les français, non content d’avoir conçu le “travailler plus pour gagner plus” dont une commission parlementaire d’évaluation, présidée par un UMPiste, a prouvé l’idiotie ; voilà notre “sauveur de la France” fuyant en Grande-Bretagne pour échapper à la taxe des 75 %.

Cela fera sans doute plaisir aux UMPistes qui nous développaient pourquoi, lors de la campagne des présidentielles, il nous fallait voter pour ce guignol, seul représentant de la “France sociale”... Il aura beaucoup promis, peu fait, et seulement pour ses copains et pour lui-même.

Et à présent, on rame à donf pour rattraper tout ça

Un sondage de droite pour la droite par la droite

Selon un sondage BVA publié vendredi, à la question "parmi les personnalités suivantes, laquelle préférez-vous voir représenter l'UMP à l'élection présidentielle de 2017 ?", 54 % des sympathisants UMP se prononcent pour Nicolas Sarkozy, 16 % pour François Fillon, 10 % en faveur de Nathalie Kosciusko-Morizet, 9 % pour Bruno Le Maire, 5 % pour Jean-François Copé, autant pour Xavier Bertrand, tandis que 1 % d'entre eux ne se prononcent pas.

51 % estiment par ailleurs que M. Sarkozy "a le plus de chance" de représenter l'UMP à ce scrutin, alors que 32 % optent pour Fillon, devant M. Copé (7 %), NKM (3 %), Le Maire (3 %), Bertrand (2 %), alors que 2 % ne se prononcent pas.

Enfin, 52 % souhaitent que François Fillon se présente à la nouvelle élection pour la présidence de l'UMP, 46 % ne le souhaitant pas et 2 % ne se prononçant pas. La question ne porte que sur l'ancien Premier ministre.

Et après tout cela, les mêmes vont nous dire que c’est l’Europe qui fout la merde... Du tout, jolies lectrices et fiers lecteurs ; on y arrive parfaitement tout seul, comme des grands.

Après 5 ans de défaites, Sarkozy revient
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